Un spécimen de l’araignée-banane (Phoneutria nigriventer) utilisé pour les travaux de la Fondation Ezequiel Dias de Belo Horizonte, au Brésil.

Avec ses quinze centimètres, ses huit pattes velues et son venin mortel, l’araignée-banane ne semble à première vue pas être la meilleure amie de l’homme.Mais des scientifiques brésiliens se sont inspirés de son venin pour développer une molécule synthétique pour un gel visant à lutter contre les troubles de l’érection.