Facile! Les retirer!
Comment peut-on rendre les autobus à deux étages plus sécuritaires? Ne plus en acheter et retirer le plus rapidement possible ceux qui circulent en ce moment.
Claude Robert, Gatineau
Pas sécuritaire
Les autobus à étages ont subi deux accidents en cinq ans, et autant de décès. C’est inacceptable : je donnerais l’ordre immédiatement de retirer ces autobus.
C’est une horreur de voir ces nouvelles. Je vois un autobus à deux étages comme un bloc-appartements qui se promène, j’espère ne plus les voir. Au Québec, ce ne devrait être que des autobus à un étage ou articulés et c’est très suffisant. Le risque n’est pas permis!
Sylvie Lahaie, Gatineau
Signe de soumission
À Gatineau, pour devenir médecin, on doit suivre la première année de notre programme en anglais. Le Québec démontre qu’on est soumis. Imaginons-nous dans n’importe quelle autre province et que la première année d’un programme ne se donne qu’en français. Quelle réponse les anglophones auraient-ils donnée? Se poser la question, c’est y répondre.
Le Québec doit réfléchir en profondeur à son avenir.
R. Fournier, Gatineau
L’État a de l’argent
Dans sa chronique «Un vent d’ambition» (Le Droit, 9 janvier), Patrick Duquette résume les promesses de la Coalition avenir Québec : autoroute 50, hôpital, éducation, train léger, etc. «Un gros programme. C’est à se demander s’il y a assez d’argent dans les coffres...»
Un voyage au Lac-Saint-Jean m’a ouvert les yeux. On avait investi 22 millions $ dans le seul village historique de Val-Jalbert. En Outaouais, on n’a pas eu 2 millions $ pour réparer le chemin de fer de Wakefield. Une belle autoroute à quatre voies relie Alma à La Baie, des villes beaucoup plus petites que Gatineau.
L’État a l’argent, c’est aux élus de la distribuer équitablement.
Claude Péloquin, Lochaber
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La question du jour :
Remaniement à Ottawa : que pensez-vous des nouvelles fonctions des élus ?
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