La hausse vertigineuse du prix de l’essence vous agace au plus haut point ? Vous considérez faire l’achat d’une voiture électrique pour contourner cet irritant ? Vanessa Poirier, directrice générale de Hull Hyundai vous met en garde : armez-vous de patience, car il faut souvent attendre près de deux ans, selon le modèle choisi.

Depuis la fin du 19e siècle, l’industrie automobile a connu une croissance quasi imperturbable. Cependant, cette industrie, encore très profitable, est en train de vivre un de ses changements les plus importants.

Le Dr Young préfère ne pas se réjouir trop vite de l’engouement pour les voitures électriques. Bien qu’il se désole de l’achat accru de VUS et de grosses voitures, il ne croit pas que les véhicules électriques soient une solution miracle.

Il semble donc que les véhicules électriques soient une solution hautement imparfaite, mais que penser des autres options ? Rappelons que le Canada se classe en première position ( ne vous réjouissez pas trop vite ) de la liste des pays où les véhicules ont la plus haute moyenne de consommation de carburant et d’émissions de CO2 par kilomètre parcouru. En somme, nos véhicules sont nettement plus gros, plus lourds et plus polluants que la moyenne des autres pays.

Si l’ampleur du défi environnemental peut inspirer le découragement, le Dr Young n’est pas pour autant défaitiste. Selon lui, une solution viable existe pour faire face à ces nouveaux enjeux : la mobilité partagée.

L’Outaouais n’échappe pas à l’engouement pour les voitures électriques. La hausse du prix de l’essence crée ici aussi un enthousiasme inéluctable pour les véhicules carburant aux énergies renouvelables.

Quand elle est électrique, elle est rare et chère. Et pas toujours aussi autonome qu’on aimerait, dans un monde qui tarde à se convertir à l’électrification. Quand elle est traditionnelle, elle émet des gaz à effets de serre, coûte cher, est rare elle aussi, notamment à cause de toutes sortes de pénuries de pièces cruciales, et elle carbure à de l’essence dont les prix explosent. Pourtant, les espaces de stationnement sont pleins. Et les politiciens comptent sur la voiture pour aller chercher des voix et des voies. Les photographes du Droit AFFAIRES se sont penchés et élevés pour nous parler à leur façon de ces bêtes d’acier dont on devrait se passer, mais dont on ne peut se passer.

Un projet pilote de transport en commun est en branle dans les Comtés unis de Prescott et Russell ( CUPR ). L’idée est d’évaluer la demande pour ce genre de service en milieu rural. Rendu au cœur du projet, l’achalandage n’est pas assez grand pour faire vivre une compagnie privée.

À présent que l’électrification des transports fait de plus en plus d’adeptes à travers le monde, le tout premier Salon du véhicule électrique en Outaouais se tiendra du 23 au 25 septembre au Palais des congrès de Gatineau.

Dans une ère où la main-d’œuvre de qualité se fait rare, prendre soin de ses employés devient primordial, peu importe le type de commerce que l’on possède. La copropriétaire des boutiques L’As des Jeux et du Pärlé Bistro Ludique de Gatineau l’a bien compris. En instaurant au sein de son entreprise un régime d’assurances collectives, Caroline Paquette désirait offrir plus à ses employés. Elle voulait leur donner une qualité de vie.

Au Québec, le transport émet près de 45 % des émissions de GES. Les ménages dépensent en moyenne plus de 12 000 $ par an pour se déplacer. Le nombre de véhicules immatriculés est supérieur au nombre de Québécois en âge de conduire. Pendant ce temps, les voitures sont stationnées plus de 22 heures par jour. À l’ère des changements climatiques, de l’inflation, de l’augmentation fulgurante du prix de l’essence, et du télétravail, il me semble qu’on pourrait faire mieux, pas vous ?

Chaque mois, Le Droit Affaires vous propose de découvrir une cause, une fondation, un organisme caritatif qui redonne à la communauté. Dans ce numéro, nous avons discuté avec le nouveau directeur général de la Fondation franco-ontaienne ( FFO ), Marc Lavigne, arrivé en poste en mai dernier.