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Histoires sombres au cœur de Montréal pour des auteurs d’ici

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Histoires sombres au cœur de Montréal pour des auteurs d’ici

CHRONIQUE / Camper l’action d’une nouvelle sanglante, mystérieuse, d’une histoire glauque, d’un récit qui nous tiendra en haleine à même les différents quartiers de Montréal, voilà le défi qui a été lancé à plusieurs auteurs québécois, dont les auteurs originaires de la région Guillaume Morrissette et Maureen Martineau. À l’aube de l’ouverture du Salon du livre de Trois-Rivières, le voile se lève sur Noir Montréal, un recueil de nouvelles qui s’annonce aussi sombre que prometteur.
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Pas qu’une question de confiance

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Pas qu’une question de confiance

CHRONIQUE / Une autre semaine s’achève sous le signe de la bisbille au conseil municipal de Trois-Rivières. Une semaine marquée par la récupération politique d’un malentendu entourant le processus d’embauche du directeur général, et d’une sortie publique au cours de laquelle on a pu voir une nouvelle fois à quel point les clans sont divisés à l’hôtel de ville. Et par-dessus le marché, cette étonnante tentative du maire suppléant Daniel Cournoyer de vouloir tirer sur le messager en faisant la leçon aux médias d’information.
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Retrouver le vrai visage de Patrice

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Retrouver le vrai visage de Patrice

CHRONIQUE / Champagne, paillettes, Louis Vuitton et Gucci! Depuis trente ans, il n’y avait rien de trop beau pour Patrice Visage. Ajoutez une autre folie par-dessus le marché: la cocaïne. Pendant trois décennies, le coiffeur bien connu en Mauricie a vécu avec une grande dépendance à cette substance, qui a fini par contrôler sa vie. Il y a un an jour pour jour, il entrait en thérapie fermée. Fier du chemin parcouru, il accepte aujourd’hui d’en parler, non seulement pour encourager quiconque à demander de l’aide, mais surtout pour se prouver à lui-même la valeur de tout ce qu’il a réussi à accomplir.
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Comme une longue cicatrice sur le coeur d’Amqui

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Comme une longue cicatrice sur le coeur d’Amqui

CHRONIQUE / La brume peinait à se lever mardi matin sur la route vers Amqui. Comme si la nature refusait d’ouvrir les yeux sur ce qui venait de se produire au coeur de la Matapédia. Comme si elle espérait encore se réveiller d’un long cauchemar. À Amqui, ce mot micmac qui signifie «lieu où l’on s’amuse», les traits étaient tirés, les visages longs. On ne s’amusait plus vraiment, mardi matin, ou peut-être avec les larmes aux yeux.
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Le choix impossible

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Le choix impossible

CHRONIQUE / Elle aurait pu être ma voisine, ma soeur, ma collègue de travail. Cette femme se fondait dans le décor, n’attirait le regard de personne. Déambulant dans les allées de l’épicerie pour remplir son panier comme j’étais moi-même en train de le faire. Tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Malgré toutes les apparences de normalité, elle est devenue à mes yeux, ce jour-là, le symbole de chacun des drames que l’inflation laisse dans son sillage ces jours-ci.
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Un rein pour Judith: documenter une histoire extraordinaire

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Un rein pour Judith: documenter une histoire extraordinaire

CHRONIQUE / C’est l’histoire d’une rencontre extraordinaire, celle d’un geste posé par un homme de l’Estrie à l’égard d’une femme de la Mauricie qui lui était totalement inconnue, et qui nous redonne tout simplement foi en la générosité, l’altruisme, l’humanité. L’histoire de la Trifluvienne, Judith Bélair-Kyle, qui a lancé un cri du coeur sur les réseaux sociaux afin de trouver un donneur qui accepterait de lui sauver la vie en lui donnant un rein... et celle de Frédéric Verville qui a répondu à l’appel. Une histoire qui a fait l’objet d’un documentaire produit à Trois-Rivières, actuellement disponible sur Tou.TV et qui sera aussi diffusé à Radio-Canada le 7 avril prochain.
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Droit animal et rodéos: à quand une conclusion à Saint-Tite?

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Droit animal et rodéos: à quand une conclusion à Saint-Tite?

CHRONIQUE / Il y aura bientôt six ans que le Festival western de Saint-Tite navigue à travers les requêtes et les actions voulant empêcher les activités de rodéo au Québec. Six années à consacrer temps, argent et énergie à se défendre et plaider que la pratique du rodéo est à ce point bien encadrée qu’elle respecte l’esprit de la Loi sur le bien-être et la sécurité de l’animal. Pendant qu’on attend, d’ici les prochaines semaines, le dépôt d’un rapport commandé par le MAPAQ à ce sujet, de nouvelles requêtes en justice déposées par un organisme voulant les empêcher de tenir certaines disciplines du rodéo seront bientôt débattues en cour. À Saint-Tite, par contre, on aurait raison de piaffer d’impatience, et de se demander: quand est-ce que ça va finir?
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La décision inévitable

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La décision inévitable

CHRONIQUE  /  Marie-Louise Tardif se retire du caucus de la CAQ. Temporairement, soit, mais c’était là une décision inévitable. Dans le contexte actuel, il devenait absolument impossible pour le gouvernement Legault de maintenir la députée de Laviolette–Saint-Maurice au sein de son caucus sans envoyer un drôle de message à l’ensemble de la population. Reste maintenant à savoir si Marie-Louise Tardif pourrait, au terme d’une enquête policière qui la blanchirait, réintégrer le caucus... ou si ce n’est qu’une question de temps avant que l’on confirme que la politicienne terminera sa carrière politique comme indépendante.
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Immigration et main-d’œuvre: se donner les moyens de nos ambitions

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Immigration et main-d’œuvre: se donner les moyens de nos ambitions

CHRONIQUE / La solution pour contrer la pénurie de main-d’œuvre doit-elle passer par davantage de mesures pour régionaliser l’immigration au Québec? La question est de nouveau soulevée ces jours-ci avec la publication d’une étude menée par la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) qui lève le voile sur les déficits de main-d’œuvre prévisibles dans les régions du Québec d’ici 2025 si rien n’est fait. En Mauricie et au Centre-du-Québec, des efforts sont déjà déployés afin de maximiser la régionalisation de l’immigration... mais encore faudrait-il que les moyens suivent.
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Claudie Simard: trouver sa voix

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Claudie Simard: trouver sa voix

CHRONIQUE / «Tu sais, la petite voix que tu entends de temps en temps, mais que tu n’écoutes pas. Cette petite voix qui te donne le sentiment que tu n’es pas à la bonne place.» Il y a trois ans, Claudie Simard se jetait littéralement dans le vide, en abandonnant sa carrière de journaliste à Radio-Canada Mauricie. La femme de Saint-Boniface n’a pas voulu attendre davantage avant d’aller vivre son rêve, celui de devenir réalisatrice afin de faire du documentaire. Et si rien ne se présentait devant elle au moment de faire le grand saut, elle a tracé la voie devant elle. Cette semaine, près de trois ans plus tard, elle a présenté son tout premier film, «Sages et rebelles», en avant-première à Trois-Rivières, portant du même coup la voix d’un combat pour le droit des femmes: celui d’avoir accès à la pratique sage-femme.
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40-55: une troisième mouture au printemps

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40-55: une troisième mouture au printemps

CHRONIQUE / La sortie très remarquée du conseiller municipal Pierre Montreuil cette fin de semaine, concernant sa volte-face dans le dossier du développement du parc industriel Carrefour 40-55 marquera certainement un point tournant dans cet épineux dossier qui ne finit plus de traîner en longueur. Or, ce que M. Montreuil a omis de mentionner dans cette sortie, c’est de dévoiler à quelle version du projet exactement il avait l’intention de donner son appui. Les informations qui circulent aujourd’hui portent maintenant à croire qu’une troisième mouture est actuellement en chantier et sera livrée au printemps, peut-être même dès la fin du mois de mars. Et c’est à cette mouture que M. Montreuil donnerait son appui.
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La halte-douceur: retrouver un peu de paix, loin de la rue

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La halte-douceur: retrouver un peu de paix, loin de la rue

CHRONIQUE / Jeudi soir, 19h50. Ça fait déjà la file sur la rue Laurier à Trois-Rivières, juste à côté des bureaux de Point de Rue. Dans dix minutes, la halte-douceur de l’organisme ouvrira ses portes pour la nuit, afin d’accueillir ceux qui passent leur vie dans la rue. Un petit moment de répit qu’on leur offrira, le temps de se réchauffer un peu, manger et dormir. Des gestes anodins et quotidiens pour plusieurs d’entre nous, mais qui sont devenus une lutte quotidienne pour ces personnes qui s’entassent dans la file d’attente, dans cet hiver qui n’en finit plus.
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Guérir à Saint-Élie-de-Caxton

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Guérir à Saint-Élie-de-Caxton

CHRONIQUE / La fenêtre du grand bureau donne sur l’avenue Principale de Saint-Élie-de-Caxton. Entre deux idées folles qu’il note sur son ordinateur, Jean-François Blais tourne son regard vers l’église, puis vers la montagne du Calvaire. Tout à l’heure, il ira pelleter les marches de sa galerie. Possible que quelqu’un passe sur la rue à ce moment, et que ça vire en jasette pour une bonne heure. Installé au pays des lutins depuis le mois d’octobre, le célèbre réalisateur québécois a retrouvé le goût de la création dans cette demeure. Et à deux pas de la maison de son ami Fred Pellerin, il a aussi commencé sa guérison, celle nécessaire après un diagnostic qu’il n’attendait certainement pas: celui d’une dépression.
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Des enjeux bien plus lourds qu’une fin de semaine sur trois

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Des enjeux bien plus lourds qu’une fin de semaine sur trois

CHRONIQUE / Devant la possibilité que le CIUSSS-MCQ oblige toutes les infirmières à devoir aller prêter main-forte sur les services 24/7 une fin de semaine sur trois, la grogne se fait de plus en plus sentir. Et n’allez pas croire que les infirmières ne veulent pas travailler les week-ends. Le combat est beaucoup plus large, plus profond et, selon elles, touche directement la qualité des soins que l’on donne au public, en plus de marquer un point tournant dans des conditions de travail qu’elles voient se dégrader depuis des années. Il est plutôt rare que les infirmières prennent la parole sur la place publique. Aujourd’hui, plusieurs ont accepté de se confier à visage découvert afin que le public comprenne bien les enjeux derrière cette mesure, et les raisons pour lesquelles elles se mobilisent pour dire que c’est assez.
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La Ville et ses ressources humaines: le «spectacle» qui ne doit pas en être un

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La Ville et ses ressources humaines: le «spectacle» qui ne doit pas en être un

CHRONIQUE / «Nous vous souhaitons un bon spectacle!» Le message pré-enregistré d’avertissement habituel de la salle J.-Antonio-Thompson a déclenché l’hilarité dans la salle, lundi matin, alors que plus de 650 employés municipaux y étaient réunis pour entendre la présentation des résultats du sondage mené par une firme externe sur les impressions des employés de la Ville face à leur employeur et au climat de travail. Si l’exercice a en effet pu paraître comme un «spectacle» aux yeux de certains, ce n'en était pas un. La rencontre a plutôt marqué un changement de ton dans la façon dont la direction générale compte gérer les ressources humaines à compter de maintenant. Autrement dit, la Ville ne peut plus se permettre de perdre des employés, et elle compte prendre les grands moyens pour les garder et en recruter davantage.
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Tout ce qui se dit chez Anna...

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Tout ce qui se dit chez Anna...

CHRONIQUE / Tout dans cette maison nous laisse croire qu’on entre chez quelqu’un qui nous veut du bien. Une mamie, une tante ou une amie chez qui on aime aller se réfugier. Quand on a envie que ça sente bon les biscuits ou la soupe chaude. Ou qu’on veut trouver refuge dans un sous-sol rempli de coussins colorés et confortables et de matériel pour aller peindre et bricoler. Quand on entre chez Anna et la mer, on entre chez soi, le temps de retrouver un peu de paix et de trouver ce qui nous aide à avancer dans la vie.
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Carrefour 40-55: l’intéressante solution de l’UQTR

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Carrefour 40-55: l’intéressante solution de l’UQTR

CHRONIQUE / «Un projet d’un autre siècle». Voilà le consensus qui semblait se dégager de ce panel d’experts en environnement et en économie qui a été réuni jeudi par la conseillère municipale de Trois-Rivières, Pascale Albernhe-Lahaie, afin de discuter du projet de développement du parc industriel Carrefour 40-55. Qu’on partage ou non ce point de vue, l’exercice de consultation mené par la conseillère laisse toutefois place à un constat évident: sur le plan communicationnel, les porteurs de ce projet de développement du parc industriel ont échoué à faire entendre le bien-fondé de leur vision. Un constat renforcé le jour même où l’UQTR et vingt-sept de ses chercheurs vont au-devant de la scène pour proposer une solution qui pourrait dénouer la crise.
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Quelle place pour les Autochtones dans le système de santé?

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Quelle place pour les Autochtones dans le système de santé?

CHRONIQUE / On peut entendre une mouche voler dans cette salle de l’hôtel Delta de Trois-Rivières. Au centre, sept personnes issues des Premières nations, venues témoigner de leurs expériences avec le milieu de la santé au Québec. Certaines histoires positives, d’autres qui nous laissent à la fois tristes et en colère. Et à travers l’exercice, cette même envie, ce même désir de sentir que plus de deux ans après le décès de Joyce Echaquan, on tend à se retrousser les manches pour que les choses changent et s’améliorent.
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Une mesure qui ne passera pas comme une lettre à la poste pour les infirmières

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Une mesure qui ne passera pas comme une lettre à la poste pour les infirmières

CHRONIQUE / La nouvelle a été accueillie comme une énorme secousse, lundi au CIUSSS MCQ. À compter du 26 février et graduellement jusqu’à l’automne prochain, l’ensemble des infirmières de partout sur le territoire devront minimalement travailler une fin de semaine sur trois et ce, même si leur poste présentement occupé en est un sur semaine de jour. Une mesure que la direction estime nécessaire pour donner du répit aux équipes qui travaillent sur les services 24-7, mais qui a soulevé la colère d’une partie du personnel infirmier. On entend déjà les voix s’élever et même envisager de quitter le réseau pour certaines.
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Le rire... pour survivre au suicide de leur père

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Le rire... pour survivre au suicide de leur père

CHRONIQUE / Daniel Gervais riait beaucoup. Pas mal tout le temps en fait. Ce policier de Trois-Rivières était reconnu pour son sens de l’humour, sa bonne humeur, et surtout sa capacité à se faire des amis partout où il allait. Daniel, c’était le symbole ultime du bon vivant. Or, le 26 janvier 2021, ses filles Myriam et Alexandra ont reçu l’appel que personne ne voudrait jamais recevoir: leur père venait de s’enlever la vie.
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Saint-Élie-de-Caxton: Québec doit s’en mêler

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Saint-Élie-de-Caxton: Québec doit s’en mêler

CHRONIQUE / Ainsi, la plainte qu’un groupe de citoyens de Saint-Élie-de-Caxton avait formulée au Commissaire à l’intégrité municipale en 2018 était recevable, et aurait dû être enquêtée par Québec. Voilà la conclusion du Protecteur du citoyen dans un rapport daté de mars 2022, et dont Le Nouvelliste rapporte l’existence mercredi matin.
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Déneigement des trottoirs: doit-on revoir les priorités?

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Déneigement des trottoirs: doit-on revoir les priorités?

CHRONIQUE / La question revient pratiquement tous les hivers: les trottoirs sont-ils suffisamment déneigés à Trois-Rivières? Le conseiller municipal du district Marie-de-l’Incarnation, Richard Dober, ramène ces jours-ci le débat, lui qui vient de lancer une pétition afin qu’il y ait davantage de déneigement sur les trottoirs et promenades dans le secteur de Trois-Rivières sur Saint-Laurent. Une démarche qui viserait à mener une plus grande réflexion sur ce niveau de services offert aux citoyens, pour lequel, rappelons-le, l’argent demeure toujours le nerf de la guerre.
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Quel avenir pour nos patinoires municipales?

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Quel avenir pour nos patinoires municipales?

CHRONIQUE / Enfiler son manteau, attraper sa paire de patins et se rendre à la patinoire du quartier à pied, voilà une activité prisée des familles durant la période hivernale et, avouons-le, les plus beaux souvenirs d’hiver pour plusieurs d’entre nous. Or, les défis que rencontrent les villes actuellement, tant sur le plan budgétaire, du recrutement de la main-d’oeuvre que des bouleversements climatiques entraînent de plus en plus de difficultés à offrir ce service. Pendant qu’on traverse un hiver qui donne du fil à retordre aux responsables des loisirs, on apprend que le nombre de journées d’ouverture des patinoires à Trois-Rivières a connu une baisse de plus de 12% depuis 2016. Devant ces constats, des voix s’élèvent pour qu’une large réflexion se tienne sur l’avenir de ce service, mais aussi sur la nécessaire implication citoyenne pour le maintenir.
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Incontournables partis politiques

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Incontournables partis politiques

CHRONIQUE / Devant le climat qui règne à l’hôtel de ville de Trois-Rivières, la solution doit-elle passer par les partis politiques? En réalité, ce n’est plus tant de savoir «si» des partis politiques feront leur entrée à l’hôtel de ville, mais bien «quand». Et devant cette évidence que la dynamique politique pourrait bientôt changer sur le plan municipal, on ne devrait pas envisager cette solution uniquement pour régler les conflits qui font les manchettes depuis plusieurs mois déjà, mais davantage pour planifier, pour véritablement envisager ce que sera la prochaine décennie à Trois-Rivières.
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La réussite des élèves, la grande priorité!

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La réussite des élèves, la grande priorité!

CHRONIQUE / Décidément, la réussite éducative de nos jeunes est au coeur de l’actualité cette semaine. Après avoir appris que le taux de réussite à l’examen de français écrit de secondaire 5 était en dégringolade l’an dernier à peu près partout au Québec, La Presse nous apprenait mardi que des centaines d’élèves en difficulté d’apprentissage passent chaque année directement de la 5e année au secondaire en raison de l’obligation de terminer son parcours scolaire dans un horizon de six ans. Des enjeux qui soulèvent bien des questions chez les spécialistes, et qui laissent entrevoir la nécessité de se donner davantage les moyens pour permettre à nos jeunes de réussir leur parcours scolaire.
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Malgré une pénurie de familles d’accueil, un projet de vie aux oubliettes

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Malgré une pénurie de familles d’accueil, un projet de vie aux oubliettes

CHRONIQUE / Maude a du mal à retenir ses larmes devant l’article que je m’apprête à lui lire. Seulement le titre lui fait un noeud dans l’estomac. «Un poupon de 3 mois envoyé dans un foyer de groupe de la DPJ», apprenait-on à la mi-décembre, il y a quelques semaines à peine. Maude* donnerait tout pour recevoir cet enfant chez elle. Déjà famille d’accueil pour Charlie* depuis quelques années, la femme a récemment essuyé un refus de la part de la DPJ Mauricie et Centre-du-Québec pour accueillir d’autres enfants chez elle via la banque mixte, soit les enfants pour lesquels un processus d’adoption pourrait être envisagé.
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Dure dure, la politique municipale

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Dure dure, la politique municipale

CHRONIQUE / La décision du maire de Trois-Rivières, Jean Lamarche, de se retirer temporairement de ses fonctions le temps de faire le point, mais également l’ambiance tendue qui règne autour de la table du conseil municipal trifluvien nous ont ramenés cette semaine à un constat de plus en plus évident: la politique municipale n’est pas de tout repos.
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Le nécessaire recul

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Le nécessaire recul

CHRONIQUE / Le maire de Trois-Rivières Jean Lamarche prend un temps d’arrêt. Une pause rendue nécessaire par le climat de travail malsain qui régnait autour de la table du conseil municipal en lien avec le développement du projet de parc industriel Carrefour 40-55, mais aussi pour qu’il puisse «refaire le plein d’énergie et réévaluer ses capacités à travailler en équilibre avec ses valeurs profondes». Aussi importante cette décision puisse-t-elle être pour la suite du dossier, mais aussi pour le conseil municipal, il importe d’abord, humainement, de saluer la capacité de toute personne à prendre du recul lorsque la situation devient intenable sur le plan personnel.
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Waxpen: quand la vie dérape au bout de la vapoteuse

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Waxpen: quand la vie dérape au bout de la vapoteuse

CHRONIQUE / Le silence est parfois lourd dans la maison de Sophie* ces jours-ci. Il tranche avec ces moments où sa grande fille, Anne-Julie*, vivait encore à la maison, dans le secteur Cap-de-la-Madeleine à Trois-Rivières. Mais depuis quatre mois, Anne-Julie est plutôt au Centre Jeunesse, en raison de sa dépendance à la waxpen, cette drogue dérivée du cannabis qui est de plus en plus présente dans les écoles secondaires du Québec, dont ici en Mauricie et au Centre-du-Québec. Dans quelques jours, la jeune femme de 16 ans fera son entrée au centre Le Grand Chemin, où elle suivra une thérapie fermée de plusieurs semaines pour tenter de reprendre le contrôle sur sa vie. Pour Sophie, c’est à la fois un soulagement et une immense peine... et elle sait que la vie ne sera plus jamais la même.
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Des chats lâchement abandonnés à la pension

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Des chats lâchement abandonnés à la pension

CHRONIQUE / Alvin et Théodore devaient quitter la maison pour quelques jours seulement. Un court séjour en pension au Domaine Animal de Trois-Rivières, pendant que leurs maîtres avaient des obligations ailleurs. Or, ce qui devait être un bref séjour s’est transformé en un lâche abandon de deux chats, qui cherchent désormais une nouvelle famille. Les maîtres, eux, sont injoignables et ont bloqué tout contact possible avec la pension où ils ont abandonné leurs animaux. Une réalité qui a complètement bouleversé les employés du Domaine Animal, et qui rappelle une fois de plus l’importance de prendre conscience de la responsabilité que l’on porte lorsqu’on adopte un animal.