La co-présidente du projet et étudiante en première année de médecine, Amélie Ndiho (Simon Séguin-Bertrand/Le Droit)
Hauts comme trois pommes, ils trimbalaient leurs peluches entre le poste des soins infirmiers, la salle de radiographie et le bloc opératoire. Tout ça à même le gymnase de leur école, converti pour l’occasion en «hôpital des toutous». S’il s’agissait pour eux d’une activité ludique, il s’agissait aussi d’une manière d’atténuer l’anxiété qu’ils pourraient ressentir lors de leur prochaine consultation avec un professionnel de la santé.