
Ces petits voiliers québécois que l’on ne doit pas laisser mourir
L’accès à la voile de plaisance au Québec a été rendu possible grâce à plusieurs artisans locaux à partir des années 60. Près de 35 ans après la fermeture du chantier de l'entreprise de Johan Tanzer, le plus jeune fils de la fratrie, Andreas, marche dans les traces de son père et vend maintenant des pièces de remplacement pour les navires construits par l'ex-dirigeant. Garder ces voiliers à flot, c’est sa façon de rendre hommage au travail de son père, décédé en 2016.