Le Droit
«Il est erroné de prétendre qu’une personne raisonnable peut se contenter de simplement demander l’âge de son partenaire, considérant la propension des jeunes à mentir sur leur âge», a indiqué la juge Julie Beauchesne, de la Cour du Québec, en rendant sa décision au palais de justice de Granby.
«Il est erroné de prétendre qu’une personne raisonnable peut se contenter de simplement demander l’âge de son partenaire, considérant la propension des jeunes à mentir sur leur âge», a indiqué la juge Julie Beauchesne, de la Cour du Québec, en rendant sa décision au palais de justice de Granby.

S’assurer de l’âge du consentement est primordial, rappelle la cour

Pascal Faucher
Pascal Faucher
La Voix de l'Est
Simplement demander à l’objet de son désir s’il a 16 ans est insuffisant pour qu’un adulte s’assure que l’âge du consentement est respecté, souligne la Cour du Québec dans une récente décision. Un homme de Granby l’a appris à ses dépens, le 13 janvier dernier, en étant déclaré coupable d’avoir eu des contacts sexuels avec un mineur.