Le chef du Parti québécois, Paul St-Pierre Plamondon (Archives Le Soleil, Patrice Laroche/Archives Le Soleil, Patrice Laroche)
CHRONIQUE / (SÉRIE 1er de 5) Pour éviter la catastrophe électorale que prédisent les enquêtes d’opinion, Paul St-Pierre Plamondon et son parti doivent d’abord et avant tout convaincre les souverainistes devenus sympathisants de la CAQ de rentrer rapidement au bercail, de revenir dès à présent sous le parapluie péquiste. Il reste peu de temps avant le scrutin du 3 octobre.