Kareen Martel signe Laideronnie. Son premier roman qui porte sur la laideur. (Le Droit, Patrick Woodbury/Le Droit, Patrick Woodbury)
SALON INTERNATIONAL DU LIVRE DE QUÉBEC / Kareen Martel invite les lecteurs de son premier roman dans un endroit où tous ceux qui ne correspondent pas aux standards de beauté vivent secrètement. Là où la société repousse les visages asymétriques et les corps un peu trop maigres (ou trop gros). Sous une pluie de commentaires haineux, à l’ombre des projecteurs. Bienvenue en Laideronnie.