Le Droit
(de gauche à droite, de haut en bas) l’animatrice et professeur d’histoire au Campus Saint-Jean de l’Université de l’Alberta, Valérie Lapointe Gagnon, le chercheur en résidence au Centre de recherche en civilisation canadienne-française de l’Université d’Ottawa, Joel Béliveau, la vice-rectrice de l’Université de l’Ontario français, Édith Dumont, le professeur agrégé de l’Université Simon Fraser en Colombie-Britannique, Rémi Léger, et la présidente de l’Association canadienne-française de l’Alberta, Sheila Risbud.
(de gauche à droite, de haut en bas) l’animatrice et professeur d’histoire au Campus Saint-Jean de l’Université de l’Alberta, Valérie Lapointe Gagnon, le chercheur en résidence au Centre de recherche en civilisation canadienne-française de l’Université d’Ottawa, Joel Béliveau, la vice-rectrice de l’Université de l’Ontario français, Édith Dumont, le professeur agrégé de l’Université Simon Fraser en Colombie-Britannique, Rémi Léger, et la présidente de l’Association canadienne-française de l’Alberta, Sheila Risbud.

Fait français en milieu minoritaire: les causes avant les concepts motivent les mobilisations

Jean-François Dugas
Jean-François Dugas
Le Droit
La question de la mobilisation — ou non — des communautés francophones en milieu minoritaire dépend beaucoup de la nature de la cause linguistique.