
Le recours au français dans le monde de la recherche, en contexte minoritaire, d’un bout à l’autre du pays, s’érode d’année en année, selon une vaste étude publiée cette semaine.
Le «prestige» de l’anglais l’emporte
Les chiffres sont là pour le prouver: le recours au français dans le monde de la recherche, en contexte minoritaire, d’un bout à l’autre du pays, s’érode d’année en année, constate une vaste étude publiée cette semaine. En raison du caractère dit «prestigieux» accordé par la société savante à la langue de Shakespeare, les chercheurs sont de plus en plus nombreux à privilégier l’anglais pour la diffusion des savoirs.