Le Droit
Le recours au français dans le monde de la recherche, en contexte minoritaire, d’un bout à l’autre du pays, s’érode d’année en année, selon une vaste étude publiée cette semaine.
Le recours au français dans le monde de la recherche, en contexte minoritaire, d’un bout à l’autre du pays, s’érode d’année en année, selon une vaste étude publiée cette semaine.

Le «prestige» de l’anglais l’emporte

Daniel LeBlanc
Daniel LeBlanc
Le Droit
Les chiffres sont là pour le prouver: le recours au français dans le monde de la recherche, en contexte minoritaire, d’un bout à l’autre du pays, s’érode d’année en année, constate une vaste étude publiée cette semaine. En raison du caractère dit «prestigieux» accordé par la société savante à la langue de Shakespeare, les chercheurs sont de plus en plus nombreux à privilégier l’anglais pour la diffusion des savoirs.