
Les entreprises sont souvent réticentes à aborder le sujet de l'inconduite sexuelle avec leur personnel, souligne Josée Guindon, gestionnaire au CALACS francophone d'Ottawa.
L’inconduite sexuelle empêcherait des entreprises de tenir un party des fêtes
Le CALACS francophone d’Ottawa réagit à une étude américaine qui révèle que 35% des compagnies n’organiseront pas de party des fêtes cette année et que l’inconduite sexuelle serait l’une des principales raisons. L’organisme aimerait que les entreprises privilégient une solution en amont afin d’éviter que les employés soient victimes de harcèlement sexuel.