Selon le président de l'Aéroport d'Ottawa, Mark Laroche (en mortaise), Air Transat n'a jamais demandé d'aide pour ses passagers retenus dans ses deux appareils, le 31 juillet. (Archives, La Presse/Archives, La Presse)
Les passagers d'Air Transat prisonniers du cafouillage sur le tarmac de l'aéroport d'Ottawa, le 31 juillet dernier, en ont toujours gros sur le coeur. « Torture », « situation infernale », « traités comme du bétail ». Les sept voyageurs qui se sont exprimés lors de l'audience publique de l'Office des Transports du Canada (OTC), mercredi, ont multiplié les exemples pour faire comprendre aux autorités comment la situation était surréelle pendant leur attente au sol.