C'était «indigne», c'étaient des «méthodes à la Mussolini ou au KGB», s'est-il exclamé, alors qu'il amorçait son témoignage devant la commission d'enquête Chamberland, jeudi matin.
M. Arsenault s'était d'abord plaint à la Sûreté du Québec, en décembre 2011, estimant qu'il s'agissait d'une violation de sa vie privée, puisqu'il n'était accusé de rien.
Comme il n'y avait pas eu de suite à sa plainte, en septembre 2013 il a écrit au ministre de la Sécurité publique d'alors, Stéphane Bergeron, lui demandant formellement d'enquêter sur ces fuites dans les médias.