
Le directeur général du groupe Sentinelle de la rivière des Outaouais, Patrick Nadeau, avait vivement dénoncé l'absence de documentation en français, la semaine dernière.
La documentation sera traduite en français
À la suite des plaintes de francophones, la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN) fait volte-face dans le dossier du dépotoir de Chalk River et force le demandeur, Les Laboratoires Nucléaires Canadiens, à déposer son document d'analyse d'impact environnement en français, a appris Le Droit.