
Vue sur le réacteur nucléaire de la centrale de Chalk River, en Ontario, en décembre 2007.
Un journaliste a sonné l'alerte
Journaliste retraité spécialisé dans le domaine du nucléaire, Gilles Provost est « scandalisé » par le projet de dépotoir de déchets radioactifs de Chalk River, mais aussi choqué parce que les francophones n'ont pas accès à une version française de l'analyse d'impact environnemental du promoteur, Les Laboratoires nucléaires canadiens, le consortium mandaté pour gérer le site par le gouvernement fédéral.