Le président du SEHY, Éric Bédard, craint que si une situation d'urgence survient, l'application du protocole soit désorganisée. Il cite en exemple une alarme incendie qui est survenu tôt jeudi matin à la cafétéria de l'école secondaire Haute-Ville (notre photo) en l'absence de la direction de l'établissement. (Photo Alain Dion, archives La Voix de L'Est/Photo Alain Dion, archives La Voix de L'Est)