
«La preuve est solide pour la décriminalisation. Ça fait des décennies que la recherche a démontré que nos lois actuelles favorisent la violence faite aux travailleuses du sexe», souligne Frédérique Chabot, porte-parole de POWER, un organisme regroupant d'actuelles et d'anciennes travailleuses du sexe de la région.