Dans la région, un tiers des adolescents de 14 ans et plus a des relations sexuelles. Ce n'est pas une mauvaise chose en soi, admet le Dr Jean-Pierre Courteau, de la DSPO. Mais le contexte de ces relations - associées à l'alcool ou aux drogues, trop souvent sans protection - est matière à inquiétude. (Archives, La Presse/Archives, La Presse)